top of page
GINKGO_BILOBA_Sarah Al Atassi_8_edited.jpg

GINKGO BILOBA

2020

rone

Dans cette dystopie fantasque aux accents d'anticipation, la sensualité se conjugue à l'excès. Et là où la Nature submerge l'Humanité, la figure de l'innocence symbolise l'espoir d'un renouveau. Jusque-là perdues, les âmes des Sacrifiés quittent enfin la surconsommation et ses restes délabrés pour mieux se réincarner au cœur de la Terre. Ainsi s'achève ce conte carnassier : par une renaissance autrement plus optimiste qui invite à l'éveil des consciences.

photogrammes

coulisses de fabrication

crédits

photo de plateau

carte blanche confiée par rone pour porter à l'écran
le premier titre de son album room with a view

GINKGO_BILOBA_Sarah-Al-Atassi_.png

Musique ... Rone

Label de l'artiste ... InFiné Records

Scénario + Réalisation ... Sarah Al Atassi

Production ... La Main Productions

Co-production ... InFiné

Scripte ... Juliette Moreau

Image ... Evgenia Alexandrova

Son ... Hugo Deguillard

Décoration ... Pauline Doublier

Costumes ... Avril Lecocq

Maquillage ... Fiona Rossini

Montage image ... Sarah Al Atassi + Leïla Rannou

Montage son ... Lucien Richardson

Étalonnage ... Vincent Amor

Habillage graphique ... "Kako Al San" (Sarah Al Atassi)

équipe

casting

Fratrie Sacrifiée ... Sandy Farhi
Fratrie S
acrifiée ... Tibo Drouet
Fratrie Sacrifié
e ... Michel Mhanna Santoni

Maître Cérémonie ... Zaïd Sahli

L'Enfant ... Joy Lepetit-Farhi

GINKGO_BILOBA_Sarah-Al-Atassi_.png

coulisses de fabrication

Pour transposer GINKGO BILOBA à l'écran, RONE souhaitait renverser l'harmonie joyeuse de son arrangement en vue de créer un contre-point brut mais néanmoins porteur d'espoir, à l'image de la cinématique bestiale qui l'avait séduit dans mon court métrage PRENDS MON POING. Inspirée sur le champ, j'ai tissé ma réflexion créative en faveur d'un conte hybride où le radicalisme formel contrebalancerait la rêverie du récit.

Ce film a été fastidieux à réaliser en raison du contexte particulièrement défavorable à sa conception. L'équipe a tourné en février 2020, au début de la pandémie de Covid-19.

 

Un mauvais timing qui a malheureusement freiné le projet en raison des mesures de sécurité drastiques prises à l'époque.​

Le tournage ayant été bouclé in extremis, la post-production fut quant à elle ébranlée puisque bricolée à distance et à domicile avec des moyens de fortune (une configuration bien loin de notre ambition cinématographique initiale...).

souvenirs de tournage

photographie de plateau signée © lauriane bieber

bottom of page