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THE PARIS PROJECT
DRAME EXPÉRIMENTAL SIGNÉ TAMARA P. CARTER
40 minutes | Couleur | 16:9 | Stéréo
Langue : EN, FR (avec sous-titrage)
Tourné en 2016 à Paris et New York
WOMBAT FILMS x 160BPM FILMS
Produit par Quentin Daniel & Tamara P. Carter
Co-produit par Stuyvesant Pictures
CRÉDITS
Scénario + réalisation ... Tamara P. Carter
Image ... Shawn Peters
Montage ... Sarah Al Atassi
DISTRIBUTION
Michael Wynton ... Terence Nance
Anais ... Marie-France Alvarez
Sam ... Nia Andrews
Danseuse ... R. Elle Niane
Margot ... Amlan Larcher
Patrice ... Mathias Minne
Diane ... Océane Cairaty
Enzo ... Sarah Al Atassi
FESTIVALS
Festival UrbanWorld de New York
Festival LGBT d'Indianapolis
Festival Afropunk de Brooklyn
FILM INTÉGRAL
GENÈSE
Connue pour son travail de scénariste série (The Leftovers, City On A Hill), Tamara P. Carter est une autrice-réalisatrice américaine. Après un premier film d'auteur consacré à Slipknot (documentaire produit par la BBC en 2015), Tamara donne naissance à une œuvre autrement plus intime : The Paris Project. Tourné en 2016 entre la France et les États-Unis, ce moyen-métrage de fiction relate l'exil de Michael, un artiste originaire de Brooklyn, qui s'installe à Paris pour fuir son passé tourmenté.
J'ai rencontré Tamara durant la prépa du projet. Sa vision, ses valeurs et son implication dévouée ont su me conquérir sur le champ. Au départ, celle-ci m'avait sollicitée pour interpréter le rôle d'Enzo, la petite amie de l'héroïne (incarnée par Marie-France Alvarez). Ce que j'ai fait ! Mais c'est surtout notre collaboration durant la post-production du film qui m'a enchantée. À l'époque, être choisie pour assurer le montage d'une œuvre semblablement engagée et soutenue par une co-production internationale m'a conféré une considération sans pareil. D'autant plus que le récit est directement inspiré des racines de son autrice et du patrimoine culturel métissé qu'elle convoque à travers son ouvrage. Une expérience intense du fait de la configuration particulière de montage (à distance puisque tiraillée entre Paris et les États-Unis) mais assurément unique du fait de la liberté et la confiance empiriques que la réalisatrice m'a consacrées tout au long de la post-production.